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Les coups de cœur de la rédac’ #14 – Juillet 2022

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On arrive au milieu de la période estivale, et inutile de dire que l’équipe a pu rattraper son retard en terme de jeu ! Ce mois-ci, on vous a sélectionné sept titres qui nous ont marqués. On rappellera qu’on parle ici de nos expériences marquantes de ces dernières semaines. Il peut s’agir de nouveautés, de AAA, d’indés, de titres Game Pass, et j’en passe. Tous ont leur place ici.

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Forza Horizon 5 : Hot Wheels  (Danxter)

Cela faisait quelques temps que je n’avais pas arpenté l’asphalte et la poussière mexicaines, ni profité des paysages qui défilent à des vitesses folles. Ce premier DLC a donc été l’opportunité d’admirer tout cela depuis un nouveau point de vue. Et pour cause, puisque les circuits proposés nous envoient littéralement dans les nuages et font découvrir le terrain de jeu comme on ne l’a jamais vu.

Loin d’être seulement esthétique, cela apporte de la verticalité au gameplay misant sur la gestion des courbes rapides plutôt que sur la succession de virages habituelle. Tout est fait pour privilégier la vitesse et j’ai trouvé le tout très amusant tout en gardant un niveau de challenge correct. Mention spéciale aux différentes épreuves qui permettent d’en savoir plus sur l’univers Hot Wheels, depuis les origines jusqu’aux détails plus précis sur ce dont raffolent les collectionneurs. L’esprit de départ est d’ailleurs conservé à travers la possibilité de créer ses propres tracés à base de loopings et autres vrilles.

Une extension qui a su me séduire et qui, même si elle ne dépayse pas vraiment, permet de vivre le Mexique d’une toute autre manière.

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PowerWash Simulator  (Jess Bond)

Si un jour, on m’avait dit qu’un jeu de simulation de Kärcher me rendrait complètement accro, j’aurais ri au nez de la personne. Et je me serais trompée. PowerWash Simulator, c’est un concept ultra satisfaisant, ce qui le rend très, mais alors très addictif. Les mécaniques de jeu sont simples : muni de votre plus beau pistolet, l’objectif sera de nettoyer des structures plus folles les unes que les autres allant d’une simple maison à une caserne de pompiers. Et quel plaisir d’avancer dans ces niveaux pour nettoyer la crasse, de voir que le travail est accompli.

La durée de vie est folle, puisque ça fait plus de 55 heures que j’ai démarré le jeu et je n’ai fini que le mode carrière, pas les défis secondaires. Et puis franchement, l’ajout d’un mode coopératif, c’était la cerise sur le gâteau. On peut se détendre entre amis pour nettoyer tout et n’importe quoi et surtout discuter et passer du bon temps. Bref, la définition même du jeu vidéo pour moi.

Et même si le concept n’est absolument pas sexy sur le papier, essayez-le malgré tout. C’est dans le Game Pass, alors pourquoi se priver ?

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DJMAX Respect V  (JiTeuBey)

Quelle ne fût pas ma surprise lors de l’annonce des jeux Game Pass de début juillet. Non seulement DJMAX Respect V arrivait enfin sur Xbox, mais il allait être jouable gratuitement pour les abonnés. Les jeux musicaux, c’est l’un de mes genres préférés. Inutile donc de vous dire que le titre a rapidement été installé et lancé sur ma Series X.

Si je ne connais qu’une infime portion de la bande-son, j’ai au moins pu constater qu’elle était incroyablement fournie. Plus de 150 morceaux. Ajoutez à cela plusieurs modes de jeu, dont du multijoueur compétitif, la possibilité de jouer avec 4, 5, 6 ou 8 touches dans quatre niveaux de difficulté, des éléments à débloquer… Le contenu est dingue et qualitatif, mais la quête des 1000G sera réservée à une très faible minorité, tant certains succès sont exigeants ou terriblement longs.

Depuis sa sortie, je lance DJMAX Respect V tous les jours ou presque, pour une petite session dépassant rarement l’heure. Je pense qu’il m’accompagnera sur la durée, comme un certain Fall Guys que j’ai d’ailleurs failli sélectionner pour ce mois-ci.

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Back 4 Blood  (Koryah Siha)

Le challenge j’adore ça. Mais quand il prend le pas sur le fun, l’enthousiasme s’évapore plus vite qu’il ne s’est formé. J’ai débuté Back 4 Blood peu de temps après sa sortie en octobre dernier. L’impatience était là, cela faisait un moment que je n’avais pas fait de jeu en coopération. Alors nous voilà en Recrue pour y aller doucement. Les premières missions de l’Acte I s’enchaînent bien. L’environnement est plaisant. Je découvre le bestiaire et l’assimile peu à peu. Tout comme le gameplay. Mais quelque chose ne va pas. Les dégâts font mal. Trop mal. Le fun était là lui aussi jusqu’à ce qu’arrive le moment où il faut se rendre à l’évidence. L’avancement dans le jeu est une corvée. Pourquoi ai-je donc la sensation que le mode Recrue n’en est pas vraiment un ? Pourquoi ai-je l’impression d’avoir coché une option invisible qui accroît la difficulté de manière exponentielle ?

Je n’y toucherai plus pendant près de neuf mois…
Puis un jour, il m’appelle à nouveau. Je savais qu’un patch avait été déployé pour rééquilibrer le tout. Et là… Quel bonheur ! C’est exactement le jeu que j’aurais aimé avoir à sa sortie. Du challenge et la satisfaction de réussir et non pas de se faire écraser à chaque essai. J’ai enchaîné le Recrue et le Vétéran et encore aujourd’hui je prends plaisir à arpenter Finleyville et ses ruches pour zigouiller du zombie. Choisir son Nettoyeur fétiche, monter sa petite équipe, son deck et partir à l’aventure. Tout comme retrouver un peu ce sentiment d’être en totale survie dans ce monde hostile post-apocalypse, me procure, je l’avoue, une certaine euphorie et sérénité à la fois.

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Kill It With Fire   (Niko1664)

Parmi les petites bêbêtes les plus détestées qui existent, les araignées sont les championnes. Du haut de leurs huit pattes et n’excédant pourtant pas plus que quelques grammes, elles parviennent souvent à paralyser d’effroi certaines personnes qui n’hésiteront pas à faire un détour pour ne pas les approcher.

Les plus téméraires déploieront même des trésors d’ingéniosité pour les éliminer définitivement et à distance confortable si possible. Dans le genre inventif et délirant, Kill It With Fire pousse le bouchon loin… très loin. Rien ne sera trop excessif ou trop destructeur pour venir à bout de nos chers arachnides dans une dizaine de niveaux tous très différents. Oubliez votre fidèle balai, c’est bien vite au revolver et au fusil à pompe que vous pulvériserez ces bestioles. Mention spéciale pour le lance-roquette question efficacité !

Chaque environnement abrite certaines espèces spécifiques d’araignées et vous demandera de compléter des objectifs aussi farfelus que variés. Bon point, tous les niveaux peuvent être rejoués plus tard en bénéficiant de vos armes ou améliorations nouvellement acquises et en conservant la progression des objectifs précédemment terminés. Idéal pour se concentrer sur les défis qui vous ont posés problème lors de votre premier passage.

Les 1000G sont plutôt simples à obtenir et rapidement qui plus est ! Un petit jeu parfait pour de courtes sessions sans prise de tête. Pour plus d’informations, n’hésitez pas à lire le test que Sourille en avait fait l’année dernière dans nos colonnes.

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Shady Part of Me  (Ashaika)

En ce moment, j’avais besoin d’un peu de liberté mais également de quelque chose de différent. Exit les grands AAA, je cherchais une expérience inédite. Shady Part of Me est parvenu à combler cette envie. Dans ce jeu de plateforme, l’histoire se suit d’une manière très linéaire. Nous retrouvons donc deux personnages, une petite fille et une ombre. Le parallèle est saisissant puisque la première ne survit pas à la lumière et l’autre dans l’ombre. Il faut donc faire progresser les deux jusqu’à chaque checkpoint alors qu’elles apprennent à se découvrir.

Et c’est là son point fort : les interactions entre les protagonistes. Tout d’abord uniquement vocales mais ensuite chacune d’entre elles doit aider l’autre à progresser, ce qui provoque parfois quelques beaux casse-têtes. Les énigmes sont bien pensées et m’ont quelque fois creusé la cervelle. J’ai vraiment aimé cette aventure de quelques heures sur l’ombre et la lumière et la découverte de l’histoire des deux personnages, le tout avec une direction artistique collant parfaitement au jeu.

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Asura’s Wrath  (JS)

Ce mois-ci, j’aurais pu vous parler de Lost Judgment (mais bon, j’ai déjà parlé du premier opus le mois dernier, et je ne sais pas ce que j’aurais dit à part que c’est la même chose en dix fois mieux), j’aurais aussi pu aborder It Takes Two, mais ayant reçu tous les honneurs du monde, je me suis dit qu’il valait mieux vous orienter vers une pépite moins populaire.

Cette pépite, c’est Asura’s Wrath. Issu de l’écurie Capcom, le titre est une véritable anomalie et ne ressemble à aucun autre dans sa proposition. Et pourtant, malgré le bide commercial qu’il a fait en son temps, croyez-moi que dix ans plus tard, il n’a jamais autant valu le détour.

Véritable hommage à l’animation japonaise, le titre use de ses codes pour les retranscrire au mieux dans le médium du jeu vidéo à grands coups de QTE (comme vous n’en avez jamais vu auparavant) et de mise en scène à tomber par terre. Ajoutez à ça un chara-design et une bande originale qui n’a pas pris une ride, et vous obtenez un jeu singulier, que l’industrie ne nous offrira probablement plus jamais.

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Ainsi s’achève notre sélection de juillet. N’hésitez pas à nous dire, vous aussi, quels ont été vos coups de cœur ce mois-ci. On se retrouve fin août pour le prochain numéro de notre chronique.

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