Après le Brésil, le Chili, le Japon, l’Arabie Saoudite et la Serbie, c’est au tour de l’Afrique du Sud d’approuver le rachat d’Activision/Blizzard par Microsoft. Le point clé qui semble lier tous ces marchés, d’un point de vue concurrentiel, est toujours le cas Call of Duty. La peur de voir ce mastodonte du jeu-vidéo entre les mains du groupe américain effraye la concurrence, avec le pouvoir de le rendre exclusif à Xbox. Et plus particulièrement Sony. Tandis que Microsoft tente de rassurer les marchés en passant des accords dans tous les sens, y compris avec Nintendo, pour tenter de prouver le contraire.
La commission (Sud Africaine) juge que la proposition n’a que peu de chances d’aboutir à des préoccupations de forclusions. Les parties n’ont pas l’abilité ou l’envie d’éloigner Sony ou Nintendo. De plus, les entités en fusion ont mené des actions pour continuer de fournir Call of Duty à d’autres entreprises.
En d’autres termes, les conclusions avancées sont similaires en Afrique du Sud que dans les autres pays ayants jugé l’affaire. Espérons que ceux restants suivent la même voie !
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