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Test – HyperParasite, vous voulez voir la Chose ?

Depuis plusieurs années, les roguelike sont de plus en plus nombreux et tentent de détrôner les cadors du genre, comme Binding of Isaac, Rogue Legacy ou encore Enter the Gungeon. Pour ma part, ce sont des titres qui m’ont donné l’amour du genre mais, au fil du temps, j’ai remarqué que beaucoup ont tenté de les égaler sans jamais vraiment y parvenir. Mais alors, qu’en est-il de cet HyperParasite ? (que je nommerai HP pour les besoins de ce test) Réponse dans un prochain test…. LOLILOL !

Test réalisé avec délicatesse et confinement par Spirco.

Une chose en cachant une autre 

Mais trêve de babillages. HP est un rogue baignant dans les années 80, piochant son chara-design directement dans les films de cette glorieuse époque, un peu nanars mais cultes pour moi. On y incarne une créature extraterrestre aux airs de la « chose » (the Thing hein ! Pas la main de la famille Adams) qui, je vous le donne en mille, tente de conquérir le monde. Pas follement original comme scénario je vous le concède. Mais là où le titre surprend, c’est dans la manière utilisée par la créature pour parvenir à ses fins. En effet, comme dans The Thing, la chose peut prendre l’apparence des personnes qui ont le malheur de tomber sous ses tentacules, lui octroyant ainsi les capacités du pauvre quidam ingurgité. Et heureusement ! Car la chose en elle-même est extrêmement fragile, un coup suffit pour l’envoyer direct à la mort.

Les personnes absorbées lui servent alors de barre de vie supplémentaire et ont toutes des capacités et caractéristiques uniques. Leurs designs et techniques sont tirés du folklore des séries, films et jeux vidéo de l’époque, comme Ripley et le xénomorphe ou encore Mario, MacGyver mais aussi plein d’autres. Coté gameplay par contre, HP ne brille pas des masses. On est devant un classique twin stick aussi bien au corps à corps qu’à distance, avec pour chaque personnage, une attaque principale, une secondaire qui nécessite un long temps de rechargement et un bouton d’esquive. La variété du gameplay venant des victimes absorbées, mais rien de foufou donc…

Du hachis Carpenter 

Au niveau de la progression, elle se révèle contraignante car pour utiliser ses ennemis, il faut au préalable absorber leurs cerveaux puis les ramener à la base et ce, pour chacun d’entre eux. Sachant qu’il faut ensuite payer de très fortes sommes d’argent in game pour pouvoir enfin les débloquer, et que chaque niveau a ses propres personnages… Je vous laisse imaginer le côté frustrant et redondant de la chose (😉).

Tout cela freine énormément la progression et représente pour moi le gros point noir du titre qui sans cela, se révèle être un bon titre bourré de clins d’œil et de références. Mes préférées étant celles tirées du film « Les Aventures de Jack Burton », film de mon enfance de John Carpenter avec Kurt Russell que je ne peux que vous conseiller malgré le poids des années et son côté nanar décomplexé.

Conclusion

C’est un jeu que je conseillerais aux amateurs du genre à l’occasion d’une promo, car loin d’être inoubliable, HyperParasite reste suffisamment plaisant pour les amoureux des références aux nanars des années 80 et de roguelike.

 


Critères d’accessibilité

  Déficience Visuelle   Déficience Auditive
Contraste élevé (réticule de visée) Sous-titres avec indications d’ambiance
Taille couleur de police Identification de la personne qui parle
Marquage des ennemis Police personnalisable
Interface personnalisable Couleur de police personnalisable
Couleur minicarte personnalisable Options d’alerte alternatives (vibration, flash…)
Option daltonisme Sons ambiants signalés (informe sur présence)
Option Text to speech
Ralentissement du jeu

 

Conditions de test

  Détails TV 4K   Jeu fourni par l’éditeur oui
  Console Xbox One X   Temps passé sur le jeu 12 heures et 19 minutes (soyons précis)
  Niveau de difficulté n.a.   Jeu terminé non

 

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