Vous le savez, Ubisoft a profité de la Paris Games Week pour organiser son Ubisoft Experience. Moment dédié au fan, l’événement a permis de découvrir quelques jeux Ubi. Parmi eux, Beyong Good and Evil 2 a bénéficié d’un temps tout à fait particulier. En effet, les développeurs ont profité de l’occasion pour partager avec les joueurs leur sixième Space Monkey Report.
Détail du Space Monkey Report #6
Jade
Cette vidéo démarre avec un retour sur Jade. La protagoniste du premier épisode est ainsi mise en avant via des artworks dont certains totalement inédits. Dans Beyond Good and Evil 2, pré-quelle oblige, Jade est plus jeune et s’avère, surtout, être un ennemi des Spaces Monkey. La légende raconte même que, de son jeune âge, elle tue des pirates à la chaîne sans pitié. Cependant, plus que Jade, celle qui est respectée de tous s’appelle Dakini.
Dakini
Celle qui est à l’origine de la piraterie dans l’univers de Beyond Good and Evil se présente en effet sous de nouveaux angles. Ses influences Indiennes se distinguent et nous découvrons donc tatouages, maquillages et tenue en lien avec cette sensibilité ethnique. Au delà de son apparence physique, nous apprenons également que c’est à elle que nous devons le recrutement des officiers légendaires et qu’elle a pour objectif de découvrir ce que cache la porte de Monkshak dans le Système 3.
Mamago
Autres personnages a être présenté : Mamago. Ceux qui sont les mécaniciens de l’univers de BGE sont ainsi dévoilés plus précisément et notamment en 3D. Les individus de cette famille sont très semblables physiquement mais se différencient par leurs tenues notamment. Celui affiché aujourd’hui dispose ainsi d’un look reggae et d’un jet pack.
Les origines ethniques
D’autres personnages sont ensuite rapidement passés à l’écran afin d’illustrer les appartenances ethniques. Dans un monde où tous les citoyens sont standardisés, les pirates usent eux de personnalisation. C’est pourquoi les développeurs ont particulièrement travaillés le style afin que cela soit identifiable en un instant. Japon, Egypte, Inde : les origines sont nombreuses et sont effectivement très différentes.
La Diwalite
Pour la première fois ensuite est présentée la Diwalite. Ce minerai d’une extrême rareté possède une source d’énergie quasiment illimitée et est donc très recherché. La diwalite est donc une espèce de roche cueillie par les monkey afin de produire ensuite des pierres à usages très divers. Une des applications de cette diwalite consiste en la création des clones ou de soins pour les personnes blessées. Une autre application de la diwalite est à tendance militaire avec la création d’une armure/bouclier qui permet non seulement de résister par exemple aux balles mais également aux sorties dans l’espace. Mais ce n’est pas tout puisqu’elle servira aussi pour faire avancer nos vaisseaux, etc. Bref, un élément incontournable dans l’univers.
Cette Diwalite n’est toutefois pas accessible partout. Pour en cueillir, il faudra se rendre sur Naraka où se forme ce minerai. Si nous devrons sans doute trouver par nous-même nos sources d’énergie, ce n’est toutefois pas le cas de l’industrie. Cette dernière embauche en effet des hybrides/des monkeys qui iront les récupérer avant de pouvoir retourner dans leur vaisseau.
Une autre pratique qui prend place à Naraka consiste à puiser du souffre. Des puits immenses et nombreux y sont créés et des mines traitent cette ressource. Ces dernières seront d’ailleurs accessibles aux joueurs qui pourront y trouver des trésors et secrets sur le monde de BGE2.
L’ambiance sonore
Tout aussi intéressant, Christophe Hérel arrive ensuite sur le canapé des invités pour évoquer les sons et leur création. Chaque élément, diwalite incluse, bénéficie de son propre son, de sa propre vie musicale. L’homme parle ensuite plus largement des thèmes du jeu qui prendront leur source dans l’oeuvre originale avant d’être très largement retravaillés pour y apporter plus de corps. Ces nouvelles composition seront d’ailleurs renforcées par des ajouts dynamiques selon les lieux où vous vous trouverez.
Ainsi, dans un monde plutôt mécanique, des sons, des bruits métalliques viendront s’ajouter, en rythme, aux thèmes du jeu. Si vous êtes dans des zones plus naturelles, ce seront ainsi des sons plus organiques qui, eux aussi, viendront se superposer en rythme avec la bande-son originale.
Pour terminer, l’équipe fait un focus sur HitRecord. L’association réalisée avec la société américaine a permis de créer des éléments sonores ou visuels en provenance des fans. Les joueurs et artistes en herbes du monde entier ont en effet pu répondre à des mini briefs de Ubisoft afin d’apporter leur talent dans les assets du jeu. A ce titre quelques sons sont diffusés dans la vidéo et promettent une ambiance sonore assez éclectique dans radio Cheettah !
Space Monkey Report #6 en vidéo
Après toutes ces informations, on vous laisse désormais regarder tranquillement la vidéo. Celle-ci est pour l’instant en anglais (d’où le pavé plus haut pour aider les plus anglophobes) mais la version française devrait être disponible tout bientôt.
Pour rappel Beyond Good and Evil 2 ne possède aucune fenêtre de sortie pour le moment. Bien évidemment, comme nous le pensons tous depuis la première présentation du jeu, le titre arrivera sans doute sur la prochaine génération. L’ambition est énorme et aura besoin des technologies de pointes pour être atteinte. Mais vu les promesses, le résultat pourrait bien justifier de patienter encore quelques looooongs mois !
La vidéo démarre à 35 minutes et 50 secondes !
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