Ori and the Will of the Wisps est là et on a fêté ça !

Hier soir, au 4eme étage d’un immeuble parisien décoré spécialement pour l’événement, l’équipe Xbox France fêtait dignement la sortie d’Ori and the Will of the Wisps. Et elles peuvent être fières les équipes de Xbox ! 24 heures après la levée de l’embargo sur les tests, le nouveau chef d’oeuvre de Moon Studio culmine déjà à 91 sur Metacritic et 89 sur OpenCritic. Un consensus de la presse qui trouve également écho dans nos colonnes comme vous pouvez le constater en parcourant l’avis d’El Perplexo qui a déjà terminé 3 fois le jeu.

Mais revenons à ce pourquoi j’ai sorti mon plus beau clavier (tactile) : la soirée de lancement de la tant attendue suite d’Ori and the Blind Forest. Nous y étions et voici notre compte-rendu !

Un ambassadeur prestigieux pour chanter les louanges du jeu

Après une brève introduction d’Ina Gelbert, Directrice Xbox France, qui a vanté la capacité de la licence à véhiculer des émotions, la parole (et la manette) a été laissée a un invité de marque : Gareth Coker, le compositeur des deux jeux Ori.

Manette en main, le talentueux homme de musique nous a raconté avec passion (et humour !) comment le succès du premier jeu a permis d’améliorer encore sa suite. Cela passe par plus de budget dans tous les domaines certes, mais aussi un incroyable sens du détail.

Si l’impact du budget supplémentaire est directement visible sur la durée de vie et l’envergure du jeu, la partie musicale n’est pas en reste. En effet, Gareth Coker a pu cette fois-ci faire appel à l’orchestre philharmonique de Londres et à une chorale de plus d’une vingtaine de personnes là où le premier jeu utilisait un chœur de synthèse.

Quant au soucis du détail, il crève l’écran : utilisation du HDR, des décors plein de vie et des musiques taillées sur mesure pour coller à l’image. Une règle d’or néanmoins pour le compositeur : pas de musique de combat à chaque fois que l’on croise un ennemi, cela casserait trop l’ambiance générale. Cela ne l’a pas empêché pour autant d’orchestrer plusieurs versions de la même musique pour mieux marquer la progression. Résultat ? Une OST deux fois plus longue que l’original pour 196 minutes de bonheur, rien que ça !

Plein les yeux

Outre la présentation du jeu en très bonne compagnie et la possibilité d’attraper une manette pour découvrir le jeu quelques heures avant sa sortie officielle, on nous avait aussi préparé un beau décor dans le thème. Pourtant avec les risques de crue de la Seine, les plans de Microsoft ont du être chamboulés au dernier moment.

Qu’à cela ne tienne le lieu qui nous accueillait annonçait la couleur, avec des jeux de lumière qui collent parfaitement au jeu et quelques animations avec le dessinateur Asroth et un DJ set pour mieux nous plonger dans l’ambiance. Bref un moment convivial qu’il était de bon ton de savourer car on ne sait pas ce qu’il adviendra des prochains #gelhydroalcoolique.