Avec la boite à indés, toute la rédaction d’XboxSquad vous propose de mini critiques des jeux indés très peu connus ou mis en avant. Si certains ne méritent pas de sortir de l’ombre du marché Xbox, d’autres peuvent valoir le coup d’œil. C’est tout l’objet de cette rubrique.
Jeu de plateformes développé par Urântia Games et publié par Phoenix Reborn Games, Memory Link vous mettra dans la peau d’un jeune garçon courant après une fille aux cheveux rouges. Pourquoi ? Bonne question ! Le scénario du jeu est resté désespérément hors de ma portée en termes de compréhension durant mes tests.
Manette en main ça manque un poil de précision et surtout de réactivité. Je ne compte plus le nombre de fois où mon personnage est mort à cause d’un saut manqué, surtout quand on combine les touches de course et de saut. Le comble pour un plateformer. Heureusement, les points de sauvegardes matérialisés par des chats sont nombreux. Memory Link n’est toutefois pas bien dur et vous pourrez déverrouiller l’intégralité des succès en moins de dix minutes durant le premier niveau du jeu.
Graphiquement, l’ensemble se la joue old-school en pixels noir, blanc et gris à l’exception de la chevelure de la demoiselle. Le tout est stylisé grâce à l’ajout d’un filtre CRT qui fleure bon les vieilles télés 36cm sur lesquelles nous jouions plus jeunes. Ça n’est pas dénué de charme mais fort heureusement, le filtre est désactivable dans les options pour gagner en clarté.
L’unique morceau que vous entendrez durant l’aventure et qui tournera inlassablement en boucle m’a rapidement donné envie de me scier les oreilles en psalmodiant des incantations sataniques. Un bon conseil, coupez la musique avant de devenir fou !
Il n’y a en définitive pas grand chose à sauver chez Memory Link hormis sa complétion à 1000G qui ne vous demandera qu’une poignée de minutes.
J’ai apprécié :
- 1000G très rapide
- Le look old-school
Je regrette :
- Tout le reste
NhoxSlash
6 February 2023 at 15h47
Au moins c’est clair net & précis, merci Niko 😆
Niko1664
6 February 2023 at 18h47
Ha ha. Quand c’est bon, on le dit, quand c’est pas bon aussi. Après, un fan du genre y trouvera son compte probablement…mais pas moi.