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Test – The Dark Pictures Anthology : House of Ashes trouve le chemin vers la lumière

[vc_row][vc_column][vc_column_text]Décidemment, Supermassive Games sont réglés comme des horloges. Ainsi, comme l’année dernière avec le deuxième opus de la série The Dark Pictures Anthology : Little Hope, House of Ashes (on va la faire courte) se rend disponible également sur la période d’Halloween. Ce n’est pas très grave et même à l’inverse bien calculé en regardant attentivement le genre dauquel on a affaire. Pour les deux du fond qui ne suivent pas, la Dark Pictures Anthology est une série de type survival horror qui se présente comme un film interactif à embranchements selon vos choix de dialogues et/ou de vos actions. Tous les ingrédients sont là pour vous faire vivre une petite aventure bien stressante en mangeant des bonbecs dans votre canapé. Alors que vaut ce nouvel épisode et vais-je être déçu comme le précédent ? On s’envole direction l’Irak pour le découvrir et on n’oublie surtout pas les bonbons ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »157350″ img_size= »large » alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Total eclipse of the heart !

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Après le bateau fantôme dans Man of Medan et la ville de sorcières de Little Hope, House of Ashes nous transporte directement dans le désert irakien au fin fond d’une grotte. Et pour couronner le tout, vous serez à la merci de créatures qui n’ont qu’une idée en tête : vous lacérer le visage et le corps ! Ainsi, si l’horreur des deux premiers volets était plus psychologique, le petit dernier de Supermassive Games tape beaucoup plus vers l’action. D’ailleurs on peut y voir multiples références cinématographiques sous forme de clins d’œil ou d’inspirations directes qui sert le scénario du jeu. Sans tous vous les énumérer pour ne pas non plus vous gâcher le plaisir, on pense assez rapidement à The Descent de Neil Marshall ou à Aliens de James Cameron. Mais il y en a d’autres…

Comme à l’accoutumée, le titre débute par un flash-back sur un événement du passé qui vous permettra de découvrir les mécaniques de gameplay mais également, de prendre part au prologue qui sert l’histoire principale. Celui-ci se déroule en 2231 av. J.C en Mésopotamie durant lequel le roi Naram-Sin, maudit par les dieux, doit faire face à une attaque des Gutis  mais aussi à de terribles monstres qui vont finir d’ailleurs par exterminer tout le monde. Propre et presque sans bavure. Non c’est faux. Ils ont voulu, je pense, repeindre les tapisseries et les sols tout simplement.

Vous serez ensuite transporté en 2003, alors que le président américain sonne la fin de la guerre en Irak. C’est à partir de ce moment-là que vous aurez entre les mains la destinée de cinq personnages. Vous pourrez incarner, de ce fait, et à tour de rôle, Rachel King, agent de terrain de la CIA, Eric King, lieutenant-colonel de l’US Air Force, deux marines américains, Nick Kay et Jason Kolcheck, ou enfin Salim Othman soldat de l’armée irakienne. Durant une opération pour retrouver des armes chimiques secrètes de Saddam Hussein, un conflit éclate entre des soldats irakiens et les militaires américains. Malheureusement, un effondrement de terrain enverra notre club des cinq plusieurs dizaines de mètres plus bas dans divers réseaux de galeries. Et je vous le donne dans le mille, celles-ci se situent exactement au même endroit que l’ancien palais du roi Naram-Sin ! Et c’est à partir de là que les choses vont commencer à se gâter très sérieusement…[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »157354″ img_size= »large » alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Beau comme un camion (militaire) !

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Alors tout de suite ce qui m’a frappé, en tout cas sur Xbox Series X, c’est que le jeu est absolument magnifique, surtout dans ses éclairages. D’ailleurs, j’ai personnellement choisi le mode graphique « qualité » pour coller au genre cinématographique dont il s’inspire. Et pour faire simple, il y a certains endroits où c’est particulièrement bluffant, renforcé, en plus, par un cadrage et une mise en scène très minutieuse. Ce sentiment est surtout présent en intérieur et, malheureusement, beaucoup moins en extérieur qui sont heureusement relativement rares. Le ray-tracing fait, en tout cas, des merveilles et accentue l’atmosphère anxiogène de certains décors.

Par contre, je ne serais pas aussi catégorique sur les visages des personnages. Même si il y a un mieux par rapport aux anciens épisodes, on se retrouve souvent avec des regards vides qui loupent complètement l’émotion voulue sur certaines séquences. Cela sonne moins faux qu’auparavant mais ce n’est pas encore parfait. Et ce sentiment est d’autant plus accru par une localisation française en deçà de la version originale. En effet, cette dernière colle beaucoup mieux aux mouvements de bouche avec un jeu d’acteur plus juste. Je ne vous conseillerai que trop fortement d’en profiter dans la langue de Shakespeare pour une immersion maximale !

J’ai également rencontré très peu de bugs tout au long de mes deux runs. J’ai du revenir au menu principal au maximum trois fois sur la totalité de mon temps de jeu (15 heures environ). Régulièrement, c’était un personnage qui ne voulait plus se mouvoir, souvent après une cinématique. Une nouvelle fois, c’est beaucoup mieux que sur les épisodes précédents, en tout cas sur la console nouvelle génération de Xbox. Il y a donc peu de déchets même s’il reste de-ci de-là quelques rares coupures et liaisons assez brutales entre certaines rares séquences. L’ensemble reste malgré tout très fluide et beaucoup mieux fini que sur Little Hope ou Man of Medan au moment de leurs sorties respectives.

Je rajouterais pour finir que l’ambiance sonore et musicale remplissent plutôt bien leurs missions. Je ne conseillerais que trop d’en profiter avec votre casque vissé sur la tête pour une plongée plus intense dans l’aventure ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »157353″ img_size= »large » alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

On ne change pas une équipe qui gagne !

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Après vous avoir parlé de sa forme, parlons un tantinet du fond. Peu de changements de ce côté-là même si quelques évolutions font surface. J’avais déploré le côté un peu trop accessible et prévoyant des séquences de QTE de Little Hope. Cela enlevait pour moi une grande part au sel du genre en retirant une tension qui avait légitimement toute sa place. Supermassive Games a semble-t-il écouté ce grief et a donc rajouté des niveaux de difficulté. Au nombre de trois (Clémente, Difficile, Mortelle), elles vont immédiatement influer sur tous les moments où vous devrez agir avec rapidité et/ou précision. Une très bonne idée qui se rajoute aux nombreuses possibilités d’accessibilités dans le menu des paramètres.

Comme ses prédécesseurs, le titre présente toujours une rejouabilité liée aux différentes décisions ou actions que vous ferez le long de votre périple. Elles auront une incidence plus ou moins importante sur la destinée de vos héros et décideront souvent de leur survie… ou non. Également, vous pourrez vous évertuer à chercher les différents documents ou objets distillés ici ou là. Ils vous permettront de comprendre tous les tenants des évènements que vos personnages rencontreront. De plus, la durée de vie semble un poil plus importante avec en moyenne 7-8 heures pour arriver à la fin si vous êtes de nature un peu fouineur.

Pour finir, la possibilité de pouvoir partager l’épisode en local jusqu’à cinq joueurs ou à deux sur le Live fait toujours son petit effet. En effet, elle rajoute une dimension « jeux de rôles » toujours fort plaisante et en adéquation avec le genre et le système. A quand la possibilité de pouvoir jouer à plus de deux joueurs en ligne ? Cela serait une amélioration plus que bienvenue ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_single_image image= »157352″ img_size= »large » alignment= »center »][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

CONCLUSION

[/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]Après ma légère déception sur l’épisode précédent, The Dark Pictures Anthology: House of Ashes m’a redonné la foi pour la suite de la saga ! Ainsi, Supermassive Games nous délivre une troisième histoire solide. Beaucoup plus tournée vers l’action, celle-ci réussit à nous happer avec en guise plusieurs références venant des salles obscures. De plus, la plastique graphique s’est légèrement améliorée pour un rendu propre et même parfois bluffant grâce à des éclairages particulièrement saisissants. On saluera également l’effort supplémentaire sur la mise en scène et le cadrage qui transfigurent l’atmosphère et les moments d’action du titre. Dommage qu’il reste ici ou là quelques faciès ratés et une version française toujours en retrait à son homologue anglais en terme de qualité. Si vous aimez le genre, vous ne devrez néanmoins pas être déçu par le titre. Je ne l’ai pas été de mon côté ![/vc_column_text][/vc_column][/vc_row][vc_row][vc_column][vc_column_text]

Critères d’accessibilité

Déficience Visuelle Déficience Auditive
Contraste élevé (réticule de visée) Sous-titres avec indications d’ambiance
Taille couleur de police Identification de la personne qui parle
Marquage des ennemis Police personnalisable
Interface personnalisable Couleur de police personnalisable
Couleur minicarte personnalisable Options d’alerte alternatives (vibration, flash…)
Option daltonisme Sons ambiants signalés (informe sur présence)
Option Text to speech
Ralentissement du jeu

 

Conditions de test

Détails TV 4K Jeu fourni par l’éditeur non
Console Xbox Series X Temps passé sur le jeu  15 heures
Niveau de difficulté Difficile Jeu terminé oui (2runs)

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