Le tonnerre gronde et des nuages épais se profilent dans le ciel de Arkane Studios. Il est certain que la foudre va frapper. On ne sait où, on ne sait comment, mais l’électricité dans l’air ne trompe pas.
C’est un fait, Bethesda éprouve des difficultés à écouler de nombreux titres. Fallout 76 illustre à lui seul la crise actuelle. Mais même les jeux récoltant les bonnes grâces de la presse ont peine à se vendre. Nous pensons à Wolfenstein New Colossus, The Evil Within 2, Prey … Mais aussi à la licence Dishonored qui, malgré une pluie de critiques dithyrambiques, n’aura jamais eu de ventes à la hauteur du talent des développeurs.
Selon des sources connues de la rédaction, les Français de Arkane Studios (basé à Lyon) pourraient payer le prix fort des échecs passés. En effet, leur prochain projet pourraient bien être le dernier si les ventes s’avéraient de nouveaux décevantes. Une épée de Damoclès qui pèse au-dessus des employés, mais aussi de la licence phare du studio. Aucune annonce officielle ne filtre des lourdes portes lyonnaises, mais il semble peu probable que la licence Dishonored survive à un tel estoc. Malgré l’excellent Game Design et la brillante Direction Artistique du jeu,, Bethesda ne compterait apparemment plus sur Corvo et ses amis assassins pour assurer sa pérennité.
Beaucoup d’interrogations subsistent encore, notamment sur les objectifs et la nature du futur projet d’Arkane. Les négociations étant bien évidemment confidentielles, nous devons donc nous montrer patients et espérer un dénouement heureux. Ce sont avant tout des emplois qui sont en jeu et tout un savoir faire qui se doit d’être préservé. Chez Arkane… ou ailleurs
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