Le site britannique Eurogamer vient de publier une vidéo comparative de toutes les versions disponibles de Ninja Gaiden 2 à ce jour.
Par le biais de Digital Foundry, sa rubrique technique, la version optimisée Xbox One X y est comparée avec les autres éditions du jeu, allant de la 360, à la PlayStation 3, et même la version Vita.
Résolution :
Sans surprise, Ninja Gaiden 2 sur Xbox One X surclasse ses rivales de la tête, et des épaules ! Tout d’abord, le jeu s’affiche avec une résolution 4k de 3360×1755, ce qui implique une clarté inédite pour ce titre, sorti, je le rappelle, en 2008. Exclusivité Xbox à l’époque, le jeu tournait avec une résolution de 1120×585, donc on parle ici d’une augmentation de près de 900%!
Pour la version PlayStation 3, parue en 2009, et intitulé sigma, les graphismes s’affichent en 1280×718, mais justifiés vu que le jeu proposait moins d’ennemis affichés à l’écran. Pour la version Vita, on parle d’une résolution bien plus faible, approchant des 408p, à certains endroits.
Fréquence d’images :
Pour ce qui est du framerate, Ninja Gaiden 2 tourne sans soucis à 60 images par secondes sur One X, là ou les autres versions souffrent de baisses parfois importantes. Sans compter la version Vita, qui elle est cantonnée à 30 images/seconde, au mieux.
La version Xbox One standard, pour sa part, tourne avec la résolution et le framerate d’origine, certes légèrement boosté de part les capacités de la console et les avantages du programme de Rétro-compatibilité (anti-aliasing de meilleure qualité, fréquence d’images plus stable).
Conclusion :
Donc par ordre, nous avons :
- La version Xbox One X
- La version Xbox One
- La version Xbox 360
- La version PlayStation 3
- La version Vita
Pour un jeu aussi technique que Ninja Gaiden 2, le framerate constant et la résolution 4k de la version One X en font, et de loin, la meilleure version existante à ce jour. Et pour l’avoir personnellement testé, je peux vous confirmer que la différence avec les anciennes versions est frappante. On jurerait un Remaster !
Retrouvez l’analyse complète de Digital Foundry, en version originale, ci-dessous :
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