Test – Gas Station Simulator, l’essence même de la simulation

Très agréable surprise ce simulator faisant écho à notre période de pénurie ! Techniquement correct, bourré de mini-games, d’améliorations pour notre station-service et doté d’une bonne durée de vie, il a tout pour plaire ! Si on se prête au jeu, il est extrêmement prenant, même si on fait tout le temps la même chose, le temps passe vite et on se surprend à optimiser ses journées de travail. Une pépite du genre.

Le plein de super

Grâce à mon oncle, j’ai pu reprendre une vieille station-essence complètement délabrée sur la mythique route 66. Il m’a prêté 5000 dollars pour me lancer. Le rêve. Ainsi, j’ai pu commencer à rénover, à servir de l’essence aux clients, à les dépanner en snack, boissons et divers petits produits. Jusque là, tout va bien !  Par ailleurs, je me suis senti pousser des ailes en proposant même un peu des réparations de base. Le boulot est intense mais j’avance bien. Suffisamment pour embaucher des employés qui vont pouvoir m’épauler dans les menus travaux, le nettoyage, servir de l’essence ou même tenir la caisse.

Bon, je vous cacherai pas que mon oncle me fait un peu peur. Non parce que je n’ai été pas été très honnête avec vous. Il n’est pas vraiment de ma famille. Il est de “la Famille”, de celle qu’on ne peut pas refuser de proposition. Alors, quand il me demande de crocheter des coffres, je m’exécute de peur de me faire casser la figure. Après, je m’en tire bien, ce n’est pas frustrant et à force de boulot, j’arrive à m’en tirer et faire des bénéfices suffisants pour m’agrandir vite. 

Ce qui est bizarre en temps qu’auto-entrepreneur, c’est que je ne peux pas fixer mes prix. Ah pas contre, mes fournisseurs, que ce soit en essence, en pièces détachées ou en nourriture, eux, les prix varient. Visiblement le libéralisme est unilatéral dans cette Amérique de carte postale. L’endroit est plutôt joli, ça vous plairait. Je croirais vraiment vivre dans des années 60 insouciantes. C’est assez apaisant, hors du temps. Les voitures et décors sont pittoresques, je m’y sens bien.

Merci Tonton Nook !

Le travail n’attend pas, j’ai pu développer mon entreprise à une échelle que je n’aurais pas cru atteindre. J’ai quatre employés qui m’aident à tenir ma supérette, mes trois pompes à essences, mon garage de réparation. C’est génial, ça me laisse le temps de gérer les stock et de choisir le bon moment pour réapprovisionner ou trouver un bon prix. Je ne m’attendais pas à apprécier autant devenir patron d’une station-essence. Il n’y a guère qu’un sale gosse du coin qui vient de temps en temps taguer des bites sur mes murs…

En tout cas, quand je dois crocheter des coffres, les gens du coin le prennent super bien car il m’arrive de le faire en plein jour, avec témoin… mais personne ne réagit. De toute manière, personne ne parle non plus ou alors Tonton doit faire peur à tout le monde. En tout cas, j’adore mon nouveau travail. 

Là j’en suis rendu à rembourser ma dette envers mon oncle. Il a beau me menacer, je pense que c’est sa manière de montrer son attachement envers moi. En tout cas, je ne peux que le remercier car cette expérience est vraiment addictive et prenante. Bon je pense que la personne n’appréciant pas d’enchaîner les petites tâches simples trouveraient ça abrutissant et chronophage pour pas grand chose. Mais moi, je vis ma meilleure vie !

Critères d’accessibilité

Conditions de test